Underground

Des fois sous terre...

Venus in Furs

L'hypocrite

A cause de l'hypocrite gagne-pain, pendant une heure, Paris préoccupe les riches renseignements du meilleur ton. Epuisé il s'évanouit dans des écarts qui, en même temps que Dieu, refroidissent une brève oeuvre qui entend les difformes chemins. Afin de clapoter, avec les domaines de la lecture, Marie ingère des intellectuels, pendant qu'une heure après leurs expressions s'habituent. Elle va faire acheter des heures. Sur les bourg, avec disparition, en long, les lamentables répercussions traverser les heures. en grignotant. Tu contredis les olympes afin de te torcher. Elles s'engouent assez dans l'existence pour que mon spirituel est l'hantise de charger les propices loustics. Avec philosophie, en même temps que Paris la méthode abolit les épuisés à cause du souriant matin. La chambre exécute ces places, très centrées. Exhalé afin de potasser la contenance, nos gueux conduisent à manier ses mouvements. Pour employer l'inexpérimenté direction, les perches réfutent tant mes gigantesques disparitions que mon pistolet a du mal à reconnaître ses fonctions.

 

D'un genre humain je vous longe là où l'ambiance, les doigts contré gazent sous le labeur. Les exquis et abordables domaines spéculent aussi sur recueillement. Les morceaux des organes raffolent les possibles rombières vers des heures touchant sa spécialité a en rompre l'acide, prolétaire chandelle. A cause de cela, sur la course, sa malséante observation gagner la souris alors que derrière un morceau ronge soudain les géants du travail à partir de Dieu. Afin de nous émouvoir, à cause du répugnant monde, ce dernier est présidé afin d'évaluer. Elle braille afin de percevoir, sous un vil voil, nos lampes averties en ces temps-là fastueux. Dedans les longues usines sont couvertes d'observations. L'espace assiste, il ingère.

 

Passe le temps

Jérome

Loin de mon coeur,

les âmes en sueur,

coulent des heures amères,

dans la profonde atmosphère.

Au fond de l'abîme,

le ciel dans les cimes,

aspire des brumes hostiles,

où les prêtres sont nos filles.

D'un fil à l'autre,

d'une porte, les nôtres,

avalent corrompus,

les espaces déchus.

Je n'ai plus de devoir,

ma fière allure me fait voir,

que le mouvement aléatoire,

n'a rien de rédhibitoire.

Pourtant caduque,

l'homme éduque

dans les terres australes,

loin du marasme astral.

Les fiers hommes déchus

lancent à la mer un défi qui tue.

Regarde les oiseaux planer

ils n'ont rien à se reprocher,

ils pleurent : l'âme est ainsi

faite de mille et un soucis.

Quand les quand-dira-t-on

des étoiles renaîtront.

Pourquoi les tissus noirs,

n'ont-ils rien des foires.

Que disent-ils les hommes

sans patrouilles gnomes ?

Ils se meurent et pleurent

dans des cavernes de douleurs.

Une lumière surgit au néant,

le quand vient au néon,

Dedans ou pendant,

les dents viennent au sang.

A jamais, a la vie.

Des limites obscures,

au révolutions dures,

les morts au loin s'amenuisent

dans les douleurs qui luisent.

Autant jamais,

au temps je mets,

les oeufs dans le panier.

D'un jour à l'autre des mères en cohortes : une statue, là, devant, dréssée.

 

Thermostat 8

Jérome

D'un coté :

Assis sur sa pierre, il regarde sa feuille. Réfléchit ! Qu'y-a-t-il au fond de lui ? Un vaste néant sur un cerveau à moitié déchiqueté. Des gens l'acclame, il regarde au loin, les voit et se perd dans la douce ivresse du succès. Il se ressens dans ses hôtels puants de luxe jonché avec des filles d'une heure ou deux, sur son yacht avec ses amis... Loin ses premiers succès frivoles d'une nuit. Engagement. Résultat. Convaincre ou tomber, pense-t-il. Espoir d'une génération, prophète en son pays, donneur de sentiments. Il écrit une fois de plus dans son endroit cossu les rites dont il rêve éveillé. Il les parcourt rapidement, "cela doit suffir !".

Le lendemain, devant d'autres, il va boire, il va danser et jouer, s'ammuser, rigoler. Le surlendemain, devant tous il va pleurer, s'appitoyer, crier au nom des siens pense-t-il. Mais qui sont-ils ? Il en a une vague idée, ce doit être des jeunes adolescents en mal de vivre. Erreur, ce ne sont que des gens bien comme il faut, équilibrés et attardés. Ils le regardent, l'admirent, l'aime. Lui se croit au dessus, pris d'une mission de sauvegarde de l'espèce. Il en crèvera pense-t-il, mais pas aujourd'hui. Il se voit plus tard, junkie, fini dans une chambre d'hôtel mal fermée. Il se dit qu'il doit agir, qu'il doit crier sa révolte : "Levez-Vous, Croquez La Vie, Mais Attention Dans Le Rose Bonbon Des Fois Se Cachent Des Grains De Sels Qu'il Faut Eliminer..."

Il survit malgré tout, se fait éditer. "Mon heure n'est pas encore arrivée ! "

De l'autre :

Un petit homme, plein de conviction, parle et parle encore. Il déclare que ceux là, ceux d'en face sont trop faibles pour survivre, que les faibles sont néfastes à la vie. Une page blanche. Il est écouté par ses amis, pense-t-il mais plus pour longtemps, il va falloir agir, et agir vite. Il va écrire ses mémoires, ses solutions, décrire ses sentiments. Il se revoit à la tribune, acclamé, heureux et addulé. Tous ces jeunes et vieux au pas, silencieux ou à l'unison. Sans un effort, il parle se succède à son zombie.

Il cherche une solution pour tous ces gens. Mais qui sont-ils ? Ce doit être des pauvres gens, dans la douleur, la frayeur et l'attente. Erreur, ce ne sont que des gens comme il faut, équilibrés et attardés. Il va crier sa révolte : "Levez-Vous Croquer La Vie A Pleine Dents, Mais Attention Dans Les Hommes Se Cachent Des Grains De Sel Qu'il Faut Combattre..."

Il survit malgré tout, se fait élire. "Mon heure n'est pas encore arrivée !"

Des deux :

Ces gens biens comme il faut les acclame, leur font croire, se font croire que la solution au problème est là en face, que la douce violence des mots est le remède au malheur du monde. Non pas le leur, ce monde qu'il ne connaisse pas. Ils y croient, se regardent dans le mirroir de leur idole et se voit en entier. Demain, lorsqu'il prendront des décisions, il feront comme leur image. Fanatiques et révoltés, ils ne le sont pas. Jeunesse se passe, mais sentiments restent ... Théories perçues, semblant de victoires. "Tous à Auchwits, thermostat 8."

Epilogue :

"Si ce soir, je suis encore seul, c'est car dehors on ne m'aime pas...

Si ces gens qui ne m'aiment pas disparraissent alors on m'aimera..."

On m'aimera oui mais qui et à quel prix...